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Évaluation de l'impact social des arts

Et si nous disposions de meilleurs moyens pour calculer l'impact social des arts sur les communautés locales ?  

Artist Painting a Mural

Photo: Brooklyn Marok

À propos du Laboratoire d'action Évaluation de l'impact social des arts En 2024, Arts Ottawa s'est lancé dans un projet de recherche collaboratif avec Third Angle, financé par la Fondation communautaire d'Ottawa. Ce projet visait à explorer la valeur et la faisabilité d'un calculateur régional de l'impact des arts : un outil qui aide les organismes artistiques d'Ottawa à mesurer et à communiquer leur impact social et économique. 


Ensemble, Arts Ottawa et Stephanie Nadeau, de Third Angle, ont identifié les lacunes et les possibilités de renforcer les capacités locales et de mieux communiquer l'impact social des secteurs créatifs. Stephanie et Third Angle ont ensuite synthétisé les résultats dans l'étude de faisabilité du calculateur d'impact.   





disponible uniquement en anglais

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Pourquoi évaluer l'impact social ?

Nous savons que les arts contribuent à la vitalité et à la santé des communautés, ainsi qu'à la prospérité de l'économie locale. Selon le Conseil des arts de l'Ontario, le secteur des arts et de la culture de l'est de l'Ontario génère 2,7 milliards de dollars de PIB. Pourtant, les outils actuels de mesure de l'impact social manquent de cohérence et d'accessibilité dans le secteur.  

 Pourquoi mesurer l'impact ? 

  • Pour montrer la valeur des arts aux partenaires et à la communauté. 

  • Pour attirer les investissements et renforcer le soutien. 

  • Pour plaider en faveur d'un financement et d'un changement de politique. 


Grâce à ce laboratoire d'action, Arts Ottawa vise à déterminer comment nous pouvons utiliser et développer le calculateur d'impact afin de mesurer l'impact individuel et collectif des activités artistiques à Ottawa. 


Rencontrez nos conseillers du Laboratoire d'action Ces conseillers soutiendront le Laboratoire d'action en tant que mentors afin d'apporter leur expertise, leurs conclusions et leurs ressources issues de leurs travaux de recherche, d'évaluation ou d'outils pratiques.

  

Robin Sokoloski

Robin Sokoloski (elle) est une professionnelle dévouée dans le domaine des arts et de la culture, basée à Tkaronto/Toronto, qui compte plus de deux décennies d'expérience dans ce domaine. Actuellement directrice de la recherche et de la programmation chez Mobilisation culturelle elle collabore avec des universitaires, des bailleurs de fonds et des praticiens des arts afin de mobiliser la création, l'amplification et la recherche communautaire qui soutiennent la croissance et la durabilité du secteur artistique.


Au sein de Mobilisation culturelle, Robin a passé les trois dernières années à gérer le projet Research in Residence: Arts' Civic Impact, une initiative de recherche nationale qui a conduit à l'élaboration de trois cadres qualitatifs d'évaluation de l'impact des arts. Ces outils aident les organisations artistiques à mieux comprendre leur impact civique grâce à des indicateurs qualitatifs. Elle dirige également l'initiative « Evaluative Thinking » de Mobilisation culturelle, qui soutient une culture de réflexion et d'apprentissage continu dans le secteur des arts, et supervise le programme « DNA: Data Narratives for the Arts », qui intègre les pratiques en matière de données dans le travail quotidien des organisations artistiques grâce à des formations, des outils et un apprentissage collaboratif.


Robin siège actuellement au conseil d'administration du Toronto Arts Council et est membre du comité directeur du Centre for Free Expression de l'Université métropolitaine de Toronto. Elle a récemment enseigné un cours sur la politique artistique, l'équité et l'activisme dans le cadre du programme de gestion artistique du Centennial College, et a développé et enseigné un cours sur l'entrepreneuriat culturel dans le cadre du programme de gestion artistique et culturelle de l'Université MacEwan.

Shanice Bernicky

Shanice Bernicky (elle) est créatrice de médias et doctorante à l'École de journalisme et de communication de l'Université Carleton. Elle a rédigé une thèse de maîtrise en recherche-création en études des médias à l'Université Concordia, sous la forme d'un documentaire non linéaire explorant les thèmes de la violence domestique, du patrimoine et de l'identité multiraciale à partir du point d'ancrage des cheveux naturels des Noirs. En tant que monteuse vidéo indépendante, elle a travaillé sur une multitude de projets traitant de sujets riches tels que les lois et pratiques autochtones en dehors du cadre juridique canadien colonial, les commentaires féministes sur les études scientifiques et technologiques, et les questions environnementales reliant l'Orient et l'Occident. À Carleton, Shanice mène des recherches sur les pratiques d'équité dans les institutions artistiques publiques canadiennes coloniales, avec le soutien continu de Mobilisation culturelle. Lorsqu'elle ne travaille pas, elle aime tricoter ou jardiner.

Natasha Qureshi

Natasha Qureshi est fondatrice et directrice de Sympl Solutions, un cabinet de conseil basé à Toronto qui fait le lien entre la stratégie, la finance et les données pour les secteurs des arts et des organisations à but non lucratif. Elle est également co-créatrice d'ArtMetrica, une plateforme qui aide les organisations artistiques et culturelles à mesurer et à communiquer leur impact grâce à des tableaux de bord intuitifs et des cadres de données partagés. Boursière Fulbright, diplômée en informatique et titulaire d'un MBA de l'université Cornell, Natasha combine son expertise technique et stratégique pour aider le secteur des arts et de la culture à raconter son histoire à travers des données, à renforcer sa valeur auprès des communautés et à façonner un écosystème créatif plus durable et plus équitable.

Objectifs et résultats du Laboratoire d'action 

Le laboratoire d'action renforcera les échanges, façonnera des résultats concrets et élaborera des approches qui profiteront à l'ensemble de la communauté artistique.  


Nos objectifs sont les suivants :

  • Développer des compétences pour traiter, articuler et communiquer des données qualitatives et quantitatives 

  • Renforcer la confiance dans le suivi et la mise en œuvre des indicateurs d'impact    

  • S'attaquer aux obstacles tels que les capacités en matière de ressources humaines ou les lacunes en matière de compétences dans le domaine de l'évaluation    

  • Tirer parti des compétences en matière d'évaluation d'impact pour la collecte de fonds et la défense des intérêts    

  • S'engager auprès des réseaux nationaux et régionaux, en alignant le travail sur d'autres indices d'impact, tels que les 16 objectifs de développement durable des Nations unies   




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